«Au cours de son interrogatoire, il a affirmé qu’il avait accompli cet acte par conviction et que cela faisait partie de sa liberté individuelle», a indiqué Abdelhamid Amine, vice-président de l’Association marocaine des droits de l’Homme (AMDH), joint par téléphone. Le condamné a la possibilité de faire appel de ce jugement.
Des jeunes marocains ont créé récemment sur Facebookun groupe appelé «Masayminch»(«nous ne jeûnons pas» en arabe marocain) pour «défendre le droit de ne pas jeûner pour les non croyants».
LeParisien.fr
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