En général, on reproche à ces femmes ou filles d’avoir terni la réputation de leur famille. Et dans le contexte très conservateur de la société pakistanaise, où elles sont considérées comme des citoyens de second rang, elles n’ont aucun recours administratif ou judiciaire face aux violences qu’elles subissent.
Reed Brody, porte-parole de l’organisation de défense des droits de l’homme Human Rights Watch, souligne que ce sont des affaires qui échappent au contrôle de l’Etat (impuissant à entraver ce phénomène) et qu’elles se déroulent dans la confidentialité des familles ou des communautés
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