Les provinces de Lunda Norte, Lunda Sul et Malanje seraient retenues à cet effet par Endiama qui est très engagée dans la valorisation du potentiel diamantifère angolais. Elle a même scellé, tout récemment, une joint-venture avec le géant russe de diamant Alrosa pour une extensive prospection et exploration du territoire angolais.
Par ailleurs, les autorités angolaises projetteraient de rouvrir deux mines alluviales fermées en 2008 à la suite de la grande récession et de la baisse du prix du diamant.
En fait, l’Angola n’exploiterait aujourd’hui que « trois kimberlites sur plus de mille couches de kimberlite identifiées dans ce pays », selon de récentes explications du ministre de la Géologie et des mines, Francisco Queiroz.
Les trois kimberlites, en question, constituent les mines en phase d’exploitation dont la mine de Catoca qui représente, à elle-seule, 87% de la production de diamants de l’Angola.